"L’œil
était dans la tombe"
Fleuve Noir
Collection "ANGOISSE"
n°7
- 1er
trimestre 1955 -
Couverture
édition originale - 1955
Rééditions
:
# Pas
de
réédition
connue
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Résumé
:
Patrick
Gallaghan,
38
ans,
habite une petit maison Parisienne. Sa vie est calme
et tranquille. Une modeste fortune lui permet de vivre normalement,
d'employer une vieille bretonne, Mathilde, comme servante et de
s'adonner à sa passion de collectionneur de bateaux en
miniature. Il
fait donc régulièrement les brocantes et c'est par ce
biais qu'il
achète une curieuse boule de verre dans laquelle il croit voir
un petit
personnage se mouvoir.
La
nuit
suivante,
Patrick
sort
en
boite
de
nuit,
et
retrouve
deux
de
ses
fréquentations,
Armand
Duvivier
et
sa
fiancée,
Catherine
Moreuil;
cette
dernière lui avoue qu'elle est secrètement
amoureuse de lui.
Cette
même
nuit,
l'être
caché
dans
la
boule
de
verre fait
son
apparition
avec
grande
démonstration.
La
vie
de
Patrick
Gallaghan
s'en
trouve
bouleversé
à
jamais:
les
hantises
de
son
passé
vont
resurgir
et
le
persécuter.
Critique
:
Il
s'agit
là
du
premier texte fantastique de l'auteur qui n'avait
jusque
là fait paraître
que 4 ou 5 romans
de genre, en l’occurrence des romans de science-fiction.
Il
est
clair
qu'à
la
lecture
des
premières
lignes,
le
style
n'est
pas
au
rendez-vous.
Les
descriptions
sont
assez
naïves,
sans
réel
effet. Les
personnages restent sans grande profondeur. Pourtant, le roman se
laisse bien lire de part son charme suranné et son récit
qui «coule»
tout seul.
Quoi
qu'il
en
soit,
ce
roman
est
prometteur.
Il
annonce
un
style,
une
méthode
narrative
et
de
construction
que
Bruss
utilisera
à
plusieurs reprises: l'histoire dans l'histoire
et l'omniprésence du passé. Ce
qui nous
donne un «huit-clos» dans son genre.
La
fin
semble
bâclée;
elle arrive en moins de deux pages. Le lecteur
aurait le droit de s'imaginer, que les contraintes d'éditeur
(limitation du nombre de page de la collection) ont
fait commettre à Bruss une chute sans saveur. Et pourtant, l'auteur
arrive à gérer cette fin rapide afin qu'elle soit en
harmonie totale avec
les tourments de notre héros. On n'échappe pas à
son passé. Et si
celui-ci ne nous juge pas, nous nous jugerons nous-même, de
manière
inconsciente.
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"Maléfices"
Fleuve Noir
Collection "ANGOISSE"
n°18
- 1er
trimestre 1956 -
Couverture édition
originale - 1955
Rééditions
:
# Fleuve
Noir
Collection "Super-luxe - Horizons de l'eau-delà" n°15 - 1975.
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Résumé
:
Après
l'inauguration
d'un
nouveau pont reliant deux communes,
plusieurs
accidents mortels et
étranges
-
sans
compter
ceux
arrivés
pendant
la
construction
du
ponts,
se
produisirent.
Les
habitants
y
voient un effet
démoniaque, une malédiction, et demandent la destruction du pont.
Seules 2 personnes au monde savent la
cause de ces "accidents" : Gérald Sirven et sa femme.
Gérald est ingénieur en chef dans une usine de
métallurgie; il
prendra connaissance de ces faits divers dans le journal et ira
rencontrer le sous-préfet de la région dans laquelle se
trouve le
pont dans le but de faire démolir ce dernier.
L'histoire
commence deux ans auparavant, à Muire, en Sologne. Le
père de Gérald a
invité plusieurs personnes à passer quelques jours dans son château,
afin de profiter de la
campagne et pratiquer la chasse. Lors de la première sortie,
quelques
événements étranges se produisent : les chiens se
comportent
bizarrement, semblant chasser une chose invisible; l'un des
invité se
fera blesser par un sanglier d'une singulière manière.
Tous le monde
est dubitatif, et la soirée au
château se
passera dans une atmosphère lourde. Des événements
extraordinaires
viendront compléter le tableau :
un gamin racontera avoir vu un des chiens marcher le long du tronc d'un
arbre et on découvre des traces de pattes de chien sur
les
murs
et au plafond d'une des chambres du château...
Critique
:
Bruss
utilise
à
nouveau
la
méthode de l'écrit dans
l'écrit. C'est efficace. Les
personnages principaux, ingénieurs et scientifiques, sont
confronté à
une expérience d'ordre surnaturelle, marquant ainsi un contraste
plus
évident entre le rassurant et la peur. Tout est dans l'ambiance
qui
monte au fur et mesure et dans l'aspect manichéen
des
éléments : le décor zigzaguant du château
(connu) vers la forêt
(inconnu); les personnages rassurant d'un côté
(Gérald, son père,
Gilles,...) et assez énigmatiques de l'autre (Hopkins, Hurlo,
Elina,...). Cette "Partie de chasse en Sologne", qui lorgne un peu vers
"Le chien des Baskerville", arrive à vous tenir en haleine
jusqu'à la
fin. Et même si l'explication finale est un peu trop "grandiose",
on
passe un agréable moment digne des bons romans de la collection
"Angoisse".
Notons
que
les
différents
personnages auront chacun un réel intérêt dans
l'articulation et la
structure du roman, marquant une maîtrise plus prononcée
de Bruss. En
une année, de "l’œil dans la tombe" à
"Maléfices", un auteur est né.
Cela nous promet d'excellents moments pour les romans suivants.
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"Nous
avons tous peur"
Fleuve Noir
Collection "ANGOISSE"
n°24
- 4ème
trimestre 1956 -
- 4ème
trimestre 1956 -
Couverture
édition
originale
-
1955
Rééditions :
# Marabout
Collection "Bibliothèque Marabout Fantastique n°472 - 1974.
# Néo
série
"Fantastique / Science -fiction / Aventures" n°30 - 1981
# La
Baleine
Collection " Baleine Noire" - 2007
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Résumé
:
Jimmy
Hoggins
est
envoyé par son journal, le "Winnipeg
Standard", dans
la petite ville de Cockshill. Il doit y enquêter afin de
découvrir
pourquoi de nombreuses familles quittent la ville sans raison apparente.
A son arrivée, il rencontre John Heckburne, homme d'une grande
affabilité qui lui donne couvert et le loge pour la nuit. Mais
si le
repas et la soirée sont des plus délicieuses, la nuit de
Jimmy est
perturbé par un mauvais cauchemar mettant en scène un
personnage
effrayant du nom de "Blahom".
Au
lendemain, Jimmy
va s'installer à Cockshill et y découvre des habitants au
comportement
étrange, et restant muet sur les événements. Peu à
peu, Jimmy se
rends compte que les gens on peur, non seulement de parler, mais
d'évoquer.
Quelques jours plus tard, Jimmy fait la connaissance de Édith Gibbson
dont il tombe amoureux. Mais si ses journées sont merveilleuses,
ses
nuits deviennent cauchemardesques avec la réapparition de
"Blahom".
Critique
:
Deux ans à peine
depuis son
premier roman fantastique et Bruss
nous
surprends par un style propre, maîtrisé et savamment
dosé. Bruss
utilise un style différent avec un récit raconté
à la première
personne, ce qui donne, d'une part plus de force au récit, et
d'autre
part une plus grande crédibilité dans les propos.
Disons-le
tout
de
suite,
la
fin
et
son
explication
semblent
un
peu
légères
et
faciles,
même
si
Bruss
arrive
encore
à
nous faire douter et
laisse tourner en roue libre notre imagination. La dynamique de ce
roman, c'est la rémanence du malaise ambiant dans lequel baignent
les
personnages et qui immanquablement vous envahi. "Blahom" : personnage
au nom énigmatique ? Prononcez-donc son nom à haute voix
et vous en
ressentirez des frissons et un certain malaise : Bruss joue aussi
avec la sonorité. Quant aux descriptions de ses actes, elles
sont très
fortes et Jimmy / Bruss refuse même d'écrire certaines
choses tant
elles sont ignobles. Et le génie de Bruss sera de laisser le
lecteur
s'imaginer, donc de se lire lui-même l'horreur telle qu'il la
conçoit :
Le lecteur n'est plus un simple spectateur, il participe pleinement
à
la construction du climat de terreur.
Toute la
mise en place de ce malaise ambiant se finalise par
l'attitude, le
comportement et la réaction des habitants de Cockshill
vis-à-vis de
cette terreur innommable. La superstition est forte et elle peux
engendrer le pire. Car n'oublions pas que si Bruss nous donne une
solution en fin de roman, le lecteur attentif notera que certains faits
n'en trouvent pas pour autant une explication. Doute et peur n'ont
jamais fait aussi bon ménage.
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"Terreur
en
plein
soleil"
Fleuve Noir
Collection "ANGOISSE"
n°38
- 1er
trimestre 1958 -
Couverture édition
originale - 1958
Rééditions
:
# Fleuve
Noir
Collection
"Super-luxe
-
Horizons
de
l'eau-delà"
n°5 - 1975.
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Résumé
:
Patrice
Solier
est
un homme heureux. Il est fiancé à
Catherine Delambre
et doit l'épouser dans deux mois. Il est associé à
Germain Sinval et
Robert Delambre, le frère de Catherine, dans une affaire
d'import-export qui tourne très bien. Enfin, sa sœur,
Lucie Solier, va elle, se marier le même jour que lui, à
son associé et
ami, Robert Delambre. Il a acheté un petit "pigeonnier" pour lui
et sa
futur femme : c'est le bonheur...
Le bonheur, jusqu'à cette inquiétude de Catherine
envers son frère, qu'elle trouve perturbé depuis quelques
jours. Robert sera surpris
à plusieurs
reprises, sortant on ne sait où durant la nuit.
Patrice essayera en vain de savoir ce qui tourmente son ami, qui se
refusera de parler, évoquant quelque chose d'incroyable,
d'incompréhensible.
Un
matin, on apprend que
Robert et deux autres hommes, tous bien de leur personne et situation,
se sont fait prendre en flagrant délits de cambriolage. Cela
semble
insensé.
Sauf
si on évoque "l'homme en gris", ce
personnage qui hante les rêves de Catherine et qui semble
être lié au
comportement étrange de Robert.
Critique
:
Réutilisation,
en
grande
partie,
du
mode
narratif
par
le
biais
d'un
journal.
On
va
ainsi à l'essentiel. Dès l'installation de
l'intrigue et un
minimum de révélation, on retrouve l'idée de son
précédent roman
fantastique "Nous avons tous peur". En prenant un peu plus de recul, on
y voit un thème récurrent de l'œuvre
fantastique
de
Bruss
: la capacité à interférer,
à communiquer avec les
pensées des autres et particulièrement pouvoir lire
leurs pensées.
Ce thème mérite sans aucun doute une analyse plus
poussée.
Le
roman
est
correctement
écrit
(malgré
les
nombreuse
coquilles
de
l'édition
originale).
Bruss
saura
surprendre
par
moment
dans
ses
révélations,
lorsqu'il
les
glissera subrepticement au
milieu d'une
phrase.
L'auteur prendra un malin plaisir à
décrire, au
début du roman
un bonheur sans nom et, par la suite sa lente et inévitable
déliquescence. Encore une fois, l'un des autres thèmes
majeurs de ses romans de genre est
présent : le bonheur avec la femme idéale est impossible.
Il y a
toujours des éléments surnaturels qui s'y opposent.
Quoi
qu'il
en
soit, c'est un roman agréable, mais pas un grand
Bruss.
Le Bien et le Mal s'y livrent à nouveau un combat. Et même
si le Bien
fait parfois le mal, c'est qu'il y est peut-être obligé,
malgré lui.
Vraisemblablement un nouveau message de l'auteur.
nb:
Sur l'édition
originale, le logo "à la tête de
mort" de la collection "Angoisse" est absent et de la couverture et de
la tranche.
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"Le
tambour d'angoisse"
Fleuve Noir
Collection "ANGOISSE"
n°86
- 2ème
trimestre 1962 -
Couverture
édition
originale
-
1955
Rééditions :
# Marabout
Collection "Bibliothèque Marabout Fantastique n°428 - 1973.
# Néo
série "Fantastique / Science -fiction / Aventures" n°48 -
1982
# Fleuve
Noir
Collection
"Super-luxe - Horizons de l'eau-delà" n°145 - 1983.
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Résumé
:
Jim
Forrestal,
géographe,
et Lucy Stewart, botaniste, sont les seuls survivants d'une
expédition scientifique dans le désert australien
composée de 15
experts. Tous sont morts, sauf eux deux.
Forrestal
à
rédigé
pendant
cette
expédition
un
journal
de
bord
qui
relate
la
lente
descente
aux enfers de ce groupe. Partie de Alice Springs, petit
bourgade située dans le centre du continent Australien, à
la
recherche de gisements d'uranium, les membres de l'expédition
vont,
petit à petit, les uns après les
autres, basculer dans la folie.
L'équipe sombre peu à peu dans la paranoïa,
soupçonnant tel ou
tel membre d'être un espion.
Des
choses
étranges
se
produisent
tel
ce
battement
de
tambour
qui
vient
d'on
ne
sait
où
et
qui
est
là,
jour
et
nuit.
Ce
brouillard
bleu
qui
camoufle
l'expédition,
empêchant
le
ravitaillement
et
le
sauvetage.
Et
ces
petit
êtres bleus, ces « aranis », dont
certains
membres
feront mention dans leur folie...
Critique
:
L'un
des meilleurs
romans
fantastique de Bruss, sans aucun doute. Une fois de plus le huit-clos
est là : 15 personnes « enfermées »
dans un désert.
Une fois de plus, l'histoire est dans l'histoire de part le mode
narratif de l'auteur : un journal de bord nous raconte ce qu'il s'est
passé avant le sauvetage des 2 seuls rescapés. Et une
fois de plus,
les thèmes majeurs de Bruss: la folie, l'angoisse, la hantise, sont
là. Tout est affaire d'impressions, de sentiments, de doutes.
Le
style
est
davantage
maîtrisé;
les
personnages
présentent
un
caractère
suffisamment
développé
et
qui
s'exacerbera
sous
l'emprise de la
situation.
C'est une agonie de personnes qui semblent totalement saines à
la
base et qui sont des scientifiques, donc dotés de rigueur, de
sens
commun et de logique. Et c'est avec cela que Bruss renforcera l'effet
de son roman; en déstabilisant vers la folie des êtres qui
seraient, à priori, les moins susceptibles de le faire.
Les
descriptions
relatives
aux
décors
rendent
aussi
une
touche
particulière
au
roman;
le
vide
du
désert
efface tout repère possible et ne laisse que
des
personnage nus, avec leurs seules qualités, leurs seuls
défauts,
augmentant ainsi le contraste entre eux et cette folie. Le lecteur ne
manquera pas de se poser la question, tout au long du roman, de la
véracité des faits. Tout est décrit par un seul
personnage et l'on
peut raisonnablement penser qu'il peut être ou fou, ou l'un des
ces
« espions » et qu'il a tué les autres
membres.
La
fin
du
roman,
nous
laisse
sur
une
question
classique
chez
Bruss
:
tout
cela
est-il vrai ? Avant de tout refaire basculer à nouveau vers le
surnaturel.
Excellent.
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"Le
bourg envoûté"
Fleuve Noir
Collection "ANGOISSE"
n°111
- 3ème
trimestre 1964 -
Couverture édition
originale - 1964
Rééditions
:
# Marabout
Collection "Bibliothèque Marabout Fantastique n°628 - 1977.
# Fleuve
Noir
Collection
"Super-luxe
-
Horizons
de
l'eau-delà"
n°91 - 1980.
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Résumé
:
Jack
Deans
est
un
auteur
de
romans
d'épouvantes
et
à
pour
méthode
d'écriture,
celle
d'être en un
lieu d'inspiration. Il se fait conseiller par un ami le village de
Guilclan situé en Écosse. L'histoire qu'il va nous conter s'est
passée
quarante ans auparavant et il ne nous la livre qu'aujourd'hui, car il
sait que son heure approche.
Après
une longue et pénible route vers
New-Guilclan, le nouveau village, Jack Deans trouve enfin quelqu'un
susceptible de le conduire à Guilclan: Betty; sublime jeune
femme aussi
mystérieuse qu’envoûtante. Déposé au pieds de
l'unique hôtel de
l'endroit: "Le cercle noir", il est accueilli par la tenancière
Mrs
Gulliburbory. Les heures et jours qui suivent font rencontrer à
Jack
toute une galerie de personnages tous aussi étranges les uns que
les
autres: des trois boiteuses dont seule une est encore voyante et guide
les deux autres, Peter Gilcross, l'antiquaire, qui semble savoir et
cacher quelques secrets, Hérold Gruen, le poète fou ou
Sally, la
servante du "cercle noir", dont la langue est tranchée. Tout
dans ce
village semble appartenir au passé, des devantures de magasins aux
traditions dont on a, semble-t-il, oublié l'origine. Les
promenades
d'exploration de Jack lui font entre-apercevoir des volets et portes
qui se ferment et des gens qui se dissimulent à son approche.
Seul
le docteur Anton Arnold semble
apte à raconter quelques histoires sur Guilclan, dont une sombre
et
très ancienne querelle entre deux clans: les Ludmar et les
Salforth,
qui, plusieurs siècle après, conditionne le climat
d'angoisse et de
terreur des habitants de Guilclan.
Le
romancier
qui recherche une atmosphère nous la donne de
main de maître. L'installation de notre personnage principale
dans ce
village nous est transcrite avec efficacité. Bruss dirige
admirablement
le rythme, les descriptions tant émotionnelles que
décoratives. Une
nouvelle fois, l'histoire est dans l'histoire et notre héros
peut à nouveau s'apparenter à l'auteur.
Autres
thèmes
récurrents:
- Le passé. C'est lui qui conditionne le présent; qui fait que parfois,
la vie en devient tellement dépendante, qu'elle en est presque
impossible.
- La femme
inaccessible. Une
barrière d'ordre surnaturelle empêche notre héros
de pouvoir l'aimer.
Car si l'intention est là, une force occulte l'en
empêchera.
Bruss est comme ses personnages, perdu dans un
univers qu'il veut fantastique pour s'éloigner de la réalité. Thème
évident de l'auteur qui fuit son histoire, son quotidien. C'est avec
une efficacité réelle qu'il y parvient, pour son besoin et pour notre
plus grand bonheur.
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"La
figurine de plomb"
Fleuve Noir
Collection "ANGOISSE"
n°119
- 2éme
trimestre 1965 -
Couverture édition
originale - 1965
Rééditions
:
# Fleuve
Noir
Collection
"Super-luxe
-
Horizons
de
l'eau-delà"
n°111 - 1981.
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prochainement
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"Le
mort qu'il faut tuer"
Fleuve Noir
Collection "ANGOISSE"
n°199
- 2éme
trimestre 1971 -
Couverture édition
originale - 1971
Rééditions
:
# Pas
de
réédition
connue
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|
prochainement
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|
"L'objet
maléfique"
Fleuve Noir
Collection "ANGOISSE"
n°226
- 4éme
trimestre 1972 -
Couverture édition
originale - 1972
Rééditions
:
# Fleuve
Noir
Collection
"Super-luxe
-
Horizons
de
l'eau-delà"
n°43 - 1977.
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prochainement
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